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Divine Comedy (Glez)
100 pages, 17,6 x 14 cm, couverture semi-rigide, prix de vente public : 12 €, préface de Jeff Danziger, ISBN : 979-10-96708-26-0
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Produits associés
Radio Lézart, “Bulles en stock”, 2 octobre 2018 (30’12)
Rock & Folk, n°614, octobre 2018
L’avis textuel de Marie M, 5 septembre 2018
Deux personnages principaux se partagent la vedette : Pete et Lord, des versions comiques de Saint-Pierre et Dieu, comme on ne les imaginait pas. Les seconds rôles sont parfois attribués à des invités de marque : Mary Poppins, Bruce Lee, Andy Warhol, Hitchcock, Janis Joplin, Moïse… Les gags fusent dans tous les sens, se moquant de nos travers et de ceux des autres, imaginant des situations absurdes, décalées, des surprises, jouant avec le format du strip, dans un humour tour à tour potache, cynique, poétique, naïf… On ira tous au paradis, même Glez!
PerformArts, 4 septembre 2018
Glez a choisi, à mi-chemin, de s’exprimer de préférence en trois ou quatre cases, (trois ou quatre comme les mousquetaires) sur une seule ligne : « tous pour un, un pour tous » et tout est dit. Dans cette Divine Comedy version vingt-et-unième siècle, les héros dominants sont Lord et Pete. Ce dernier porte autour du cou, comme un jeune élève de l’école primaire, la grosse clef forme ancienne d’un drôle de Paradis. C’est un Paradis dans lequel figurent, par allusions ou par images, du Lascaux, des Picasso, un Pinocchio, des Vinci, et (même des Rodin modelés) en terre de Glez… Un peu revus, humoureusement mais amoureusement traités, (mais oui, mais oui !) avec légèreté par les dessins commentés de Glez. C’est rapide, drôle, souvent subtil, pertinent.
DBD, n°126, septembre 2018
Ouest-France, 20 juillet 2018
Livre Hebdo, 18 juillet 2018
Le Faso, 2 juillet 2018
Damien Glez, qui continue de sévir dans plusieurs grands titres de la presse internationale, vient de sortir un recueil de bandes dessinées. Il nous en parle dans l’une des rares interviews qu’il a acceptées d’accorder et revient aussi sur le sort de l’hebdomadaire satirique « Journal du jeudi » qui a disparu des kiosques depuis quelques mois.
“Le livre qui vient juste de sortir de l’imprimerie est un recueil de la série Divine Comedy. Il s’agit d’un comic strip, une série de petites bandes dessinées d’une ligne qui a été publiée pendant une dizaine d’années dans des journaux de pays différents comme la Suède, la Pologne ou la Norvège. L’action se déroule au Paradis où les deux personnages principaux, Pete (Saint-Pierre) et Lord (le Dieu inspiré de la chapelle Sixtine) rencontrent des célébrités montées au ciel. C’est en réalité un regard décalé sur le monde moderne.
C’est un éditeur français, les éditions Rouquemoute, qui a décidé de consacrer un livre à cette série qui était d’abord publiée à partir des Etats-Unis. Sur les 1400 épisodes existant, il a décidé de sélectionner 160 strips.
Libex, 6 juin 2018
En 2000, le dessinateur franco-burkinabè Damien Glez et le journaliste franco-britannique Jean-Marc Mojon imaginent Pete & Lord, un comic strip à l’humour décalé et surréaliste.
Lord est le Tout-puissant qui règne en maître sur le paradis, tentant de déléguer quelques pouvoirs au gardien des lieux, Pete, un Saint-Pierre potache et distrait. Pete est le curieux bienveillant, Lord le rabat-joie, tels le clown blanc et l’Auguste de l’Au-delà.
Avec son recul paradisiaque vis-à-vis de la vie terrestre, la série devient une satire des travers humains importés au Ciel et de la société moderne, dans ses dérives consuméristes ou ses extravagances numériques.
Dès 2002, le cartoonist-Syndicate américain WittyWorld décide de distribuer le comic strip rebaptisé Divine comedy. Et voilà Pete et Lord publiés aux États-Unis, en Pologne, en Norvège ou en Allemagne, non sans difficultés locales.
Divine comedy est un recueil de plus de 160 strips N&B et illustrations couleur de Glez, au format 17,6 x 14 cm.
En 2000, le dessinateur franco-burkinabè Damien Glez et le journaliste franco-britannique Jean-Marc Mojon imaginent Pete & Lord, un comic strip à l’humour décalé et surréaliste. Lord est le Tout-puissant qui règne en maître sur le paradis, tentant de déléguer quelques pouvoirs au gardien des lieux, Pete, un Saint-Pierre potache et distrait. Pete est le curieux bienveillant, Lord le rabat-joie, tels le clown blanc et l’Auguste de l’Au-delà. Des guest-stars intemporelles traversent les cases des strips : Marilyn Monroe ou Ray Charles, Charles Darwin ou Pie VII, Jeanne d’Arc ou Napoléon, rejoints par Frankenstein ou Batman. Avec son recul paradisiaque vis-à-vis de la vie terrestre, la série devient une satire des travers humains importés au Ciel et de la société moderne, dans ses dérives consuméristes ou ses extravagances numériques.
Dès 2002, le cartoonist-Syndicate américain WittyWorld décide de distribuer le comic strip rebaptisé Divine comedy. Et voilà Pete et Lord publiés aux États-Unis, en Pologne, en Norvège ou en Allemagne, non sans difficultés locales. Un journal américain suspendra la parution de la série suite à une bronca de ses lecteurs dévots contre une Divine comedy jugée “ni divine ni comique”. En Chine, il fallut ôter le visage du dieu local, Mao Tsé Toung, des dessins promotionnels. Chacun ses tabous, chacun ses codes culturels !
En 2018, les éditions Rouquemoute publient un premier florilège des 1400 épisodes que comporte à ce jour la série Divine comedy.
→ Cliquez ici pour découvrir la page de Glez sur le site des éditions Rouquemoute !