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144 pages, 17,2 x 24 cm, couverture cartonnée, prix de vente public : 20 €, imprimé en France par Pollina (Vendée)
ISBN : 979-10-96708-49-9
Livraison en point relais Chronopost à 0,01 € dès 35 € d'achat !
Pour qu’un livre soit “d’occasion”, il faut qu’il ait déjà fait l’objet d’une vente préalable. C’est le cas des livres qui ont été mis en vente en librairies et qui ont fait l’objet d’un retour : l’exemplaire a d’abord été vendu à la libraire qui l’a ensuite retourné. Souvent, ces livres sont légèrement abîmés (lors de l’expédition, parce qu’ils ont été en vitrine, utilisés en modèles d'exposition, lors de la manutention des cartons ou encore à force d’avoir été feuilletés par les clients de la librairie) et destinés à la destruction via la mise au pilon.
Dans le respect de la loi au sujet des livres d’occasion, ces livres sont proposés à la vente à prix bradés sur notre boutique en ligne, sur les stands que nous tenons en festival et dans notre Bar librairie La Flibuste à Nantes.
Il y a principalement deux types de défauts sur les ouvrages : coins abimés (déchirés, blanchis, relevés, tapés) et couverture marquée. Exemples en photo sur les fiches produits des livres concernés !
“Pédale !”, c’est le verbe pédaler à l’impératif, une injonction faite à soi-même d’avancer pour ne pas tomber. “Pédale !”, c’est aussi une insulte facile qui met une étiquette sur une différence montrée du doigt et moquée. “Pédale !”, c’est maintenant un roman graphique qui aborde la difficulté de se situer dans une société où les modèles amoureux sont hétéro-normés. Dans ce récit autobiographique, Ludovic Piétu aborde sa quête d’identité sexuelle avec transparence : ses questions d’enfant, ses inquiétudes d’ado, ses mensonges de jeune adulte… Puis enfin son coming-out, ce saut dans le vide, angoissant et libérateur, où tout bascule et à partir duquel il n’aura plus à mentir... Mais où tout reste à re-construire. Vingt ans après, Ludovic Piétu revient avec un œil amusé et bienveillant sur son parcours. À la fois personnel et universel, ce premier album d’auteur s’adresse à tous ceux qui se sont un jour sentis incompris, en décalage avec la normalité que l’on n’apprend pas à remettre en cause en premier lieu. La sensibilité du propos est sublimée par le dessin de Jika qui adoucit la rudesse des situations et illumine ce témoignage authentique et sans filtre.